Résumé: Derrière ce titre romantique en diable et qui ne doit rien à Tom Waits, se cache l’un des polars les plus inspirés de ces dernières années. Sous la houlette du méconnu Peter Medak (à qui l’on doit un bon film fantastique, L’Enfant du diable, et une parodie gratinée de Zorro, La Grande Zorro). Romeo’s Bleeding est construit comme un long flash-back onirique. Avec pour narrateur un privé, Jack Grimaldi, sorte de Roméo désenchanté, vautré dans la corruption et en recherche de pardon. Inutile...